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Lors d’une consultation médicale classique, le médecin établit un possible diagnostic, et prescrit un traitement.
Mais il arrive que les choses se passent autrement : au lieu d’avoir un diagnostic, on voit nos symptômes niés, minimisés ou attribués à des causes psychologiques.
On parle alors de gaslighting : quelqu’un cherche à vous faire douter de votre perception de la réalité, en l’occurrence de ce qu’il se passe dans votre corps.
Au Québec, cela se traduit par « manipulation cognitive ».
QUELQUES EXEMPLES :
« Oui, enfin des malaises tous les jours… c’est sans doute juste de l’hypoglycémie. »
« L’anxiété peut déclencher des palpitations, vous en avez déjà parlé à votre psy ? »
« De toute ma carrière, je n’ai jamais eu un cas comme le vôtre. »
La raison pour laquelle ça fonctionne aussi bien, c’est la position d’autorité et de savoir attribuée aux médecins. On ose rarement contester, après tout c’est son métier…
Et puis c’est vrai, les palpitations viennent *parfois* de l’anxiété.
Ce qu’il est important de souligner, c’est qu’on a le droit d’attendre de l’écoute lors d’un rendez-vous chez le médecin.
Si rien ne change, rendez-vous après rendez-vous… c’est qu’il y a un problème.
Vous avez le droit d’être correctement soigné·e.
Ce n’est pas parce que vous êtes malade chronique que rien n’existe pour améliorer votre quotidien.
Tout n’est pas de l’anxiété.
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