L’hypersensorialité

L’intensité d’un néon 

Le bruit d’une moto 

Le sable dans les chaussures 

L’étiquette d’un vêtement 

Le crissement d’une fourchette 

L’éponge au fond de l’évier 

L’odeur forte d’un parfum

Dans le cas de l’hypersensorialité, ces stimuli sont à la limite du tolérable. 

Certaines perceptions peuvent devenir douloureuses, parce qu’un ou plusieurs sens sont exacerbés. On parle aussi d’hyper-réactivité.

Il y a plusieurs types d’hypersensorialité : 

  • percevoir des stimuli que les autres ne perçoivent pas 
  • ne pas faire le tri entre les stimuli utiles et ambiants 
  • capter les stimuli de façon amplifiée

Dans le cas d’un néon, la vive lumière peut donner mal à la tête, troubler la vision, irriter ou faire pleurer les yeux, voire déclencher des vertiges.

Le seuil de stimulation sensorielle tolérable varie selon les personnes. 

Je n’aime pas la musique trop forte. 

désagrément supportable 

La musique trop forte me donne l’impression que mon crâne va exploser

hypersensorialité

Pour parvenir à un seuil de stimulation plus confortable, tu peux te fabriquer un cocon sensoriel avec un casque anti-bruit, une couverture lestée, des lunettes de soleil, des vêtements confortables…

Si l’un·e de tes ami·e·s supporte mal le bruit, la lumière, etc., n’insiste pas pour le traîner dans des bars, boîtes de nuit, etc. Prends en compte ses besoins !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *